Il y a quelques années de cela, à une soirée, j’échange avec une étudiante en communication. Très fière de son cursus, elle m’indique ne surtout pas vouloir devenir attachée de presse, parce que, selon elle : « il s’agit d’un métier de femmes de petite vertu, il faut être très superficielle, passer des heures au téléphone, parader dans les soirées… » On dira qu’elle avait les certitudes de la jeunesse… Et surtout des professeurs particulièrement mauvais qui  n’ont pas su lui expliquer l’essence de notre métier.

Autre anecdote sur le même thème : tous les attachés de presse ont au moins une fois été confrontés lors d’une présentation à cette question d’un prospect : « Qui connaissez-vous comme journalistes ? » ou encore « quel volume a votre carnet d’adresses ? ».

Notre confrère Georges-Antoine GARY a commis, sur ce thème, un magnifique article d’opinion, intitulé « Il est frais, il est beau mon réseau« .

A lire absolument pour plusieurs raisons :

  • c’est très bien écrit
  • c’est très clair
  • l’auteur supporte le PSG

Je vous livre ici le début du billet :

L’été aura été propice – comme souvent – à des changements d’attaché de presse ou d’agence dans certaines sociétés.

Comme à chaque fois, certains arguments chocs ne manqueront pas de plaire aux Directeurs Marketing qui pensent que les relations presse fonctionnent à la force du fayotage/couchage/paiement/cadeau (rayer la mention inutile)* ou à des chefs d’entreprises qui prennent les RP pour des « glandus » qui offrent des pots à longueur d’année…

Un de ces argumentaires chocs est la PUISSANCE DU RESEAU, ce saint Graal qui va permettre à n’importe quel vendeur de coque pour smartphone de devenir l’égérie des médias…

Alors je vais me permettre un petit conseil gratuit, simple et basé sur le bon sens: fuyez!

Pour lire la suite, c’est ici, alors régalez-vous !

 

 

 

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